Un vent se lève qui éparpille Production Théâtre du Nouvel-Ontario, Théâtre de la Vieille 17 et Théâtre Français du Centre National des Arts Texte Jean Marc Dalpé Adaptation pour la scène Johanne Melançon, Geneviève Pineault et Alice Ronfard Mise en scène Geneviève Pineault Avec David Boutin, Roch Castonguay, Annick Léger, Robert Marinier, Milva Ménard et Bryan Morneau Assistance à la mise en scène Diane Fortin Décor Gabriel Tsampalieros Costumes Isabelle Bélisle Éclairages André Rioux Musique Marcel Aymar Durée du spectacle: 1h30 sans entracte Quatre voix nous livrent un drame passionnel. Il y a Marcel et sa rose tatouée sur la poitrine, Joseph, le bon mari au pick-up rouge, Rose, sur le bord de la rivière Waba avec ses souliers blancs vernis et Marie, sa jeunesse, ses cheveux roux et ses yeux gris vert. Chaque personnage nous raconte sa version de l’histoire, celle d’un triangle amoureux dérangeant qui, mû par une passion et une colère dévorantes, ébranle la mémoire de tout un village. Amour interdit, désir, trahison, abandon sont autant de composantes qui alimentent ce récit aux allures de tragédie grecque nord-ontarienne. En nous mettant face à des personnages habités par des émotions d’une force qui les pousse à franchir l’interdit, Jean Marc Dalpé met en relief la dualité de la nature humaine, où raison et sentiments sont souvent inconciliables. Récipiendaire du Prix littéraire du Gouverneur général en 2000, ce roman de Jean Marc Dalpé est ici transposé à la scène sous la houlette de Geneviève Pineault. Après nous avoir présenté II ( deux ) et Un neurinome sur une balançoire, le Théâtre du Nouvel-Ontario est de retour à La Licorne avec cette pièce créée au Centre national des Arts d’Ottawa à l’hiver 2016. PartagerCliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Google+(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)